Il est l'oxygène nécessaire à ta survie, s'il partait la fadeur s'emparerait de ta vie. Il est toutes les couleurs qui te font sourire, il est celui pour qui tu es prête à mourir. Tu espères compter à ses yeux autant que lui compte pour toi, il est celui qui te fait rire et pleurer à la fois.
Expliquez-moi cette faiblesse. Moi qui m'étais faite tant de promesses et qui savais jusqu'à présent les tenir. Moi qui ne ressentait pas cette douleur au ventre, cet impression de souffrance en mon sein, cette plaie salvatrice qu'est l'amour. Que s'est-il passé? Que m'a-t-il fait? M'a-t-il ensorcelée? Je ne comprends plus rien, et cette impression que rien n'existe, que tout n'est qu'illusion, ce ressenti persiste. Aurai-je rêvé? Ses lèvres n'étaient-elles pas réelles? Lui faire peur alors qu'il s'est caché sous la table de ping pong, n'était-ce qu'une onirique hallucination? L'avoir vu se retourner pour me dire "Je t'aime", n'était-ce que fictif? L'entendre dire qu'il n'a pas encore envie de partir, qu'il souhaite rester à mes côtés, que je dois le cacher sous mon lit, qu'il hait mon chat, que je suis belle, l'entendre, l'entendre, l'entendre.. En réalité, est-ce que ça a existé? Et son corps que j'ai effleuré, ce splendide torse que j'ai caressé encore et encore en me disant qu'il me serait arraché, que j'ai touché jusqu'à satiété parce que j'avais faim de lui, son parfum avec lequel j'emplissais mes narines jusqu'à saturation.. Rien de tout cela n'a existé, n'est-ce pas? Ces impressions n'étaient dues qu'à la magnificence du moment, à l'intensité de notre passion que nous attisions par maintes caresses. Mais alors? Suis-je folle? Ai-je réellement vécu tout ceci? Tu ne cesses de lacérer mon c½ur, je me meurs d'amour, j'agonise.
Jε vεux avθir lε cθuragε dε lε fairε avεc Tθi!
huge-sky, Posté le dimanche 13 juillet 2008 17:52
Ophey, tu es née pour être mannequin =)
Très beau texte ma Couchonne!
Comme quoi derrière ton cul, il y a un cerveau! xD
J'déconne! =P
Je t'aime fort ma Couchonne!